Rencontre inattendue

oui douce C...des petits envois à te faire

oui, de quoi accompagner mes sens..

les préceder

les rejoindre

comme tu aimes

les envelopper..

comme des mains

une bouche chaude

à fleur de peau..

sur ta peau blanche et lisse

faire glisser

vers ton intime

le rendre plus humide encore

te voir jouir ainsi de te savoir vue

surprise dans tes émois

il y a bien longtemps que je n'ai été surprise

quel dommage

oui!

mais je trouve souvent bcp de plaisir seule

sentir un regard

a m'envoler dans mon imaginaire

sur tes reins en action

ta cambrure

tes mouvements de va et vien

tu me prends la main , là...

oui....

j'ouvre le chemin des délices

il est là tout proche

laisse venir ce plaisir

sens comme ton souffe s'accélere

je porte depuis ce soir, en rentrant, mes boules de geisha

tu les sens qui se frottent

elles activent ce plaisir, secret

intime

baignent dans mon humidite

ton eau

tu as envie de les porter à ta bouche

non, j'aime les sentir au creux de moi, là

doucement

ondule

frotte toi à l'angle de ce bureau

continue

serre tes cuisses

et ouvre

je veux que tu mouilles de me savoir là

te devinant ainsi

troublée

de ce désir

j'ai aussi envie, d'être prise..

sentir

une queue dure

envie de jouer d'une longueur argentée que j'aime beaucoup laisser a portée de main, de désirs..

oui

frotte la à tes lèvres avant de t'enfiler

parles moi de toi..

de mes envies

de te voir ouverte

disponible

prete à être prise

mon bassin ondule, oui

de plus en plus

comme une danse

va plus loin encore

encore

imagine ma queue raide de ce spectacle...

glisse un doigt entre tes fesses

un instant..je reviens tout de suite..

oui

voilà

qu'avais tu vu de nos objets,?

H. et moi,

c'est bien... les boules et l'objet de metal

precisemment ce que je touche , alors..

oui...comme si c'était mon sexe brulant

entre tes levres

ton sexe fier, erige, brulant , oui

ma queue remplie d'envie de toi

ton corps cambré, tendu, je te vois , t imagine

oui tu le connais

pret pour toi

mes cuisses s'ouvrent de plus en plus

tout en tension

le ventre vibrant

tu vas sentir mon membre

il est là

mon coeur s 'accelere

va

je t'enfile maintenant

mes seins se gonflent

je les attrape

les malmenent

c'est fort

comment es tu

je viens loin

fort

je suis érigé

nu?

juste defait?

P. ?

oui

juste défait

c'est beau

oui mon souffle s'emballe un peu

le ventre vibrant aussi

le bassin rythmé

pour ma chaleur,

mes coups de reins

bien à fond

je suis envahie

tu veux encore

plus loin

tiens

hummmmm

tu me fais fondre..

fonds

sois trempée sur ma queue

va plus loin

Glisse un doigt dans ton anus

Envie de  chaleur linguale

entre mes lèvres

je vais jouir là

maintenant

gicler entre tes levres

vertigeeeeeee

prends ce foutre

le mien

regarde comme je jouis

quel trouble!

c'est doux

tu vois comme tu m'as fait jouir

quel moment inattendu!

un volcan en éruption

Comments

[Frédérick]

Eveiller autant de passion, autant d'émotion ressemble beaucoup à ce que j'apelle chez moi l'intrigue et l'inspiration ! Permettez alors que je vous confie ce que je ressens le plus à la lecture de ce texte: la délicatesse.
Parler tendresse …

Je ne peux prendre une femme dans mes bras,
La regarder jouir sous moi,
Sans lui donner .... Ma tendresse.
Je ne peux recevoir ou prodiguer des caresses,
Offrir tendrement à sa main mon sexe,
Le laisser prendre possession de son con,
Sans lui offrir .... Mon affection.
Je ne peux, d’une peau nue être émue,
Sans être, par quelques sentiments Tenu.
Même si éphémère en est le temps,
Je ne peux avoir, auprès d’un corps,
Des envies d’encore
Sans que la peau de la diablesse
Ne se nourrisse de tendresse.
Je ne peux de ma langue la parcourir,
La faire, sur mon pieu aller et venir,
Sans prendre pour bonheur ses soupirs.
Je peux faire à une femme l’amour
Sans mettre devant un grand "A" suivi de toujours.
Mais ….Tant que je parlerais sexe
Avec tendresse, je parlerais… Tendresse !

[passager_fantome]

Dans la pénombre de ta silhouette
Que dessine la lueur pâle et fatiguée
D’une courte bougie bientôt muette
Je perçois l’invitation de ton déhanché

Dans la nuit qui s’illumine à présent
Que tout éclat de clarté s’est retiré
Passager mon fantôme en conquérant
S’approche de cette tendre volupté

Dans l’éclair vif et pornographique du feu
Sans artifices que tes douceurs engendrent
Nos deux sexes brûlants échangent entre eux
La litanie salée de nos corps en cendres

[_votre ange_]

Mes mains parcourent ton corps...
comme un aveugle je fais les contours de tes courbes...
elles glissent avec délice...
limpides comme l’eau d’un ruisseau...
j’enregistre le moindre détail...
pour ne pas oublier...

[Henri-Etoile]

Céleste

va nous

dire,

là,

cette

situation........

[Maître Décadent]

Vous ici, lui là bas... et pourtant chaque mot devient réel, chaque verbe forme une caresse, et ainsi, cheminant, le plaisir déferle...